COMMENTAIRE DE RAEL :
Une étude formidable ! Cela prouve que les psychiatres qui essayent de normaliser les gens ont totalement tort, tout comme ils ont tort quand ils « diagnostiquent » un « trouble du déficit de l’attention », et donnent aux gens, (y compris aux enfants) de dangereux médicaments qui aident les compagnies pharmaceutiques à gagner plus d’argent. Faites tout votre possible pour NE PAS être « normal », et vous serez heureux ! Comme le dit cette belle phrase : « Une fois, j’ai essayé d’être normal : cela a été les deux pires minutes de ma vie. »
Daprès une étude scientifique, les pratiques sexuelles tendancieusement perverses, incluant bondage et sadomasochisme, auraient des vêrtus bénéfiques pour la santé. Avis à tous ceux qui nauraient pas encore adopté la tendance, il est temps de se mettre aux fouets et aux menottes.
On appelle « BDSM », lassociation de Bondage et Discipline (B&D) avec Sadisme et Masochisme (S&M). Contrairement au terme générique, il existe de multiples adhérents : les fétichistes, les amateurs du latex et autres excentriques.
Qualifié comme un ensemble dattirances ou de pratiques sexuelles différant des actes traditionnellement considérés comme « normaux », le « BDSM » na, à lheure actuelle, pas été diagnostiqué comme une déviance psychologique.
Selon létude publiée dans The Journal of Sexual Medecine, des chercheurs ont demandé à 902 personnes pratiquants le « BDSM » ainsi quà 434 non- « BDSM », soit des personnes ayant un comportement sexuel dit « conventionnel » nommés « vanille », de répondre à un questionnaire. Ignorants tout du but de lenquête, les participants ont répondu à de nombreuses questions sur leur sensibilité au rejet, leur personnalité, le style dattachement dans les relations ainsi que leur bien-être.
Les chercheurs ont donc constaté que ceux pratiquant le « BDSM », et jouant souvent un rôle dominant dans les actes sexuels, ont obtenu les meilleurs résultats dans tous les domaines confondus. De même que les personnes soumises ainsi que celles jonglant entre les rôles dominants et soumis. Des trois groupes, ce sont les soumis qui ont eu le plus faible résultat mais qui, obtenaient des résultats quand même plus élevés que les participants à la sexualité conventionnelle.
Contrairement à ce que lon aurait pu penser et en vu des résultats, les pratiquants « BDSM » ne sont pas les plus troublés psychologiquement parlant. Ils se sont dailleurs montrés plus extravertis, ouverts et attentifs aux expériences mais ont, en revanche, obtenu des résultats plus faibles que le grand public sur la sensibilité au rejet, en effet, ceux-ci savèrent être moins paranoïaques quant au sujet des sentiments que peut éprouver autrui à leur égard.
Létude a révélé que les « BDSM » ont montré des résultats bien plus élevés concernant leur bien-être que les gens extérieurs à ces pratiques. Malgré cette étude, les chercheurs narrivent pas à expliquer pourquoi ces pratiquants ont une meilleure santé que le reste de la population. Les chercheurs pensent que le fait quils soient conscients de leurs besoins et de leurs désirs sexuels joue un rôle primordial dans labsence de sentiment de frustration que se soit dans les relations émotionnelles et/ou physiques.
Vos amis sadomasochistes ont une bien meilleure santé mentale que vous
Big Bang Is Over!
RAEL’S COMMENT: They are just starting to understand infinity in time and space. Thank you Elohim !